LBSKMC-CRIAEAU IGSC E3R3 : Verdict Cour d'Appel de Paris et pourvoi en Cassation ? Avec Survie, FIDH, LDH et survivant(e)s rwandais - Les Lumières du Rwanda / Criaeau
Edito : La décision de la Cour d'Appel de Paris aujourd'hui renvoie à un pourvoi en cassation des personnes physiques et parties civiles, quand à l'affaire Papon : S’appuyant sur la jurisprudence de la Cour de cassation et sur celle des juridictions internationales, les parties civiles contestaient la nécessité de cette démonstration. En effet, dans sa décision du 23 janvier 1997 (Affaire Papon), la chambre criminelle de la Cour de cassation a retenu que « le dernier alinéa de l’article 6 du statut du Tribunal militaire international de Nuremberg n’exige pas que le complice de crimes contre l’humanité ait adhéré à la politique d’hégémonie idéologique des auteurs principaux ».
Pour Me Patrick Baudouin (FIDH), « la lecture de l’arrêt de la cour d’appel de Paris permettra de savoir si celle-ci a fait sienne l’interprétation des juges d’instruction et du parquet général exigeant que le complice de génocide ait eu l’intention d’aider ou d’assister l’auteur principal. Si tel était le cas, les personnes physiques, la FIDH, la LDH et Survie se pourvoiraient en cassation afin de vérifier que la cour d’appel a bien appliqué le droit, ce que nous contestons. »
Le Criaeau soutient entièrement Survie, la FIDH, la LDH et les personnes physiques, les survivant(e)s rwandais de Bisesero.
En l'écriture active " Les Lumières du Rwanda ", nous proposons en Partie 4, tant une contre-expertise du rapport Duclert, qu'une nouvelle modalité de formulation de plainte quant au " Moment janvier-mars 1993 ": là, suite à la publication du rapport FIDH dit Carbonare, toute la chaîne française de " réparations", depuis l'armée avec le général Varret, depuis la DGSE, services secrets, et jusque Pierre Joxe, alors ministre de la Défense, avait souscrit en soi au Rapport Carbonare, pour tant un retrait des troupes françaises du Rwanda qu'une saisie de la Convention sur le génocide ONU 1948 pour faire arrêter le génocide des Tutsi alors démontré " tel qu'en cours" par le rapport Carbonare.
Or, Mitterrand et la cellule françafricaine n'ont pas accepté le rapport Carbonare, ni donc le retrait des troupes et la saisie de la Convention sur le génocide ONU 1948 : tout à l'opposé, niant le droit français et international, Mitterrand et la cellule françafricaine ont enfreint les Lois, droits, pour doubler les troupes françaises et faire informatiser les listes de Tutsi à exterminer.
Nous pensons qu'une nouvelle intervention juridique, ou déjà l'inscription de ce nouveau libellé dans les plaintes en cours, tant au Tribunal administratif que devant la Cour de cassation donc, peut aider voire même résoudre ce qu'apparemment les négations structurelles, conséquentes et avérées continuent d'entraver de la Justice française.
Nous pensons envoyer tout bientôt une esquisse de notre réflexion d'hypothèse -réparation, intitulée " Les Lumières du Rwanda " ( voire " Table des Matières " ci-dessous ), aux personnes intéressées, pour qu'elles étudient le bien-fondé de nos propositions-hypothèses.
Très bonnes études.
Laurent Beaufils, écrit à Boussac, le 11 décembre 2024, à 17 h 42 minutes.
LBSKMC-CRIAEAU IGSC E3R3 : Pour Me Patrick Baudouin (FIDH), « la lecture de l’arrêt de la cour d’appel de Paris permettra de savoir si celle-ci a fait sienne l’interprétation des juges d’instruction et du parquet général exigeant que le complice de génocide ait eu l’intention d’aider ou d’assister l’auteur principal. Si tel était le cas, les personnes physiques, la FIDH, la LDH et Survie se pourvoiraient en cassation afin de vérifier que la cour d’appel a bien appliqué le droit, ce que nous contestons. »
Génocide au Rwanda: non-lieu confirmé en appel dans l'enquête sur l'armée française à Bisesero
Paris - La cour d'appel de Paris a rejeté mercredi les accusations de "complicité de génocide" visant l'armée française et son éventuelle inaction lors des massacres de Bisesero au Rwanda en ...
LBSKMC-CRIAEAU IGSC E3R3 : Donc pourvoi en cour de cassation : les instructions juridiques continuent pour démontrer la complicité de la France dans le génocide des Tutsi. Courage et bonnes études . Laurent pour le Criaeau :
La cour d’appel de Paris doit étudier, ce jeudi 19 septembre au matin le non-lieu général rendu en octobre 2023 dans l’enquête sur l’inaction reprochée à l’armée française lors des massacres de Bisesero au Rwanda en 1994.
In writtings " The Lights of Rwanda " En écriture " Les Lumières du Rwanda "
In writtings " The Lights of Rwanda " En écriture " Les Lumières du Rwanda " Avec l'essai sur Pierre Leroux, nous ouvrons à l'écriture " Les Lumières du Rwanda " dans l'approfondissement jusqu...
https://criaeau.org/in-writtings-the-lights-of-rwanda-en-ecriture-les-lumieres-du-rwanda/